ça vous intéresse mon point de vue sur l'école à deux ans ?

L'école à deux ans ? Je pense que cela devrait être INTERDIT, dans le souci de protéger les enfants.

A la naissance, le bébé a besoin de sa maman avant tout, puis il a besoin d'être séparé de sa maman, ou il faut séparer la mère de son enfant, ce qui donne le même résultat = on le place dans une structure d'accueil pour le socialiser.

Suivant le choix des parents ce sera la crèche ou l'assistante maternelle.

Suivant l'assistante maternelle, ce sera cette formule qui sera idéale, parce que l'enfant sera accueilli dans une formule qui ne sera pas éloignée de sa vie de famille, mais quand même qui va préparer l'enfant à l'école en lui faisant partager le contact avec d'autres.

Mais il ne faut pas oublier que l'enfant jusqu'à 3 ans ne veut ni prêter son jouet, ni quitter sa mère, ni exécuter les consignes que l'on va s'efforcer de lui inculquer.

Alors voilà, quand on me dit que la réouverture des maternelles à l'âge de 2 ans est mise en place pour réinsérer les enfants de quartiers défavorisés à pratiquer la langue française au plus tôt afin qu'ils ne soient plus marginalisés =

Qu'est ce que c'est que ce faux prétexte ?

Il faudrait choisir entre aider les populations qui ne parlent pas notre langue en leur imposant des cours de français et permettre à tous les enfants de vivre leur petite enfance calmement.

Ces enfants de moins de 3 ans, ils sont comme tous les enfants, ils ne sont pas capables de vivre dans une structure collective et en plus ils ne sont pas favorises..

Moi je les observe les petits que je garde. oui vers leurs 3 ans ils ont BESOIN de passer à la dimension supérieure, même si débarquer à 3 dans une classe de 25 clônes, ça doit pas faire rire toute la journée...

à trois ans il faut effectivement (à mon avis) les mettre devant des énigmes à résoudre et un règlement de vie commune à intégrer.

Mais en dessous de trois ans, oh la la, ils ont besoin d'affection, de quelqu'un qui va les prendre dans les bras toutes les fois qu'un coup de moins bien va passer. ils ont besoin de vivre des choses en plus de leur famille, mais pas trop différentes non plus, ils doivent digérer déjà tellement d'acquisitions !

Chez l'assistante maternelle, c'est maternel mais professionnalisé, c'est à dire que l'on sait ce qu'il ne faut pas faire pour empêcher l'épanouissement d'un enfant, et on le met doucement sur les rails. on prépare le terrain. on ne pousse pas trop fort. on essaie justement de donner au tout petit tous les éléments à sa portée pour qu'il se construise une personnalité tranquille, qu'il soit acteur de ses choix.

parce qu'à l'école, pour choisir, il vaudra mieux être le premier.

pas de stress tant qu'on peut se le permettre.
donc je ne comprends pas ce raisonnement qui placera le deux ans dans des situations qui seront moins confortables pour lui que chez son assistante maternelle.

Quand votre enfant freine des deux pieds et vous annonce « j'veux pas aller à l'école », un travail sur les causes de son refus et une recherche des solutions sont indispensables. Du simple trouble passager qui ne nécessite qu'une sérieuse discussion pour que tout rentre dans l'ordre, à la phobie scolaire, beaucoup plus grave, les origines et les traitements du refus ne manquent pas. nounoupascale.

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Pour les plus petitshttp://www.lalettredesparents.com


L’angoisse de séparation

Chez les tout-petits, le jour de la rentrée rime souvent avec pleurs. Et les parents que vous êtes ne les regardent pas entrer en classe sans une relative appréhension.

L'angoisse de séparation se révèle importante quand il s'agit d'intégrer ce monde nouveau qu'est l'école. Les enfants ont l'impression d'être abandonnés. Pour beaucoup d'entre eux, comme pour certains adultes d'ailleurs, des locaux inconnus suffisent à déclencher des inquiétudes, surtout s'ils voient leurs parents avec le cœur gros. ... Ils comprennent en effet qu'ils devront aller à l'école tous les jours (et pendant longtemps encore!).

Supporter les contraintes

Très vite, les élèves de petites sections se retrouvent obligés de se plier aux règles de vie collective imposées par l'enseignant. Ces contraintes expliquent que votre enfant puisse sembler réticent à aller à l'école au bout de quelques semaines; il a du mal à accepter une nouvelle autorité. Un rendez-vous avec le maître ou la maîtresse est alors nécessaire pour savoir ce qui se passe. Quel est son comportement ? A-t-il des difficultés avec le groupe ou avec certains élèves en particulier ? Une incapacité à tenir en place lors des activités et une agitation permanente peuvent correspondre à une intolérance à la frustration. Les jeunes qui agissent de la sorte sont, dans la très grande majorité des cas, ceux qui ne connaissent pas la contrainte à la maison. Pour éviter les conflits ou simplement parce que cela ne les gène pas, leurs parents les laissent se lever de table, couper la parole, se coucher n'importe quand et n'importe où – voire sur le canapé – en se disant qu'ils finiront bien par tomber de sommeil à un moment. Mais à l'école, certains comportements ne sont pas acceptés. De toute façon, le respect des règles fait aussi partie des apprentissages en vue de préparer le passage en CP et de développer les capacités de concentration.
Si votre enfant a des problèmes en classe à ce sujet, il est peut-être temps de commencer progressivement à être exigeant avec lui. Qu'il comprenne qu'il doit se conformer à ce que l'on attend de lui. Revoir son éducation à la maison est indispensable pour qu'il ne prenne pas en grippe l'école. Il devient grand et doit donc agir comme tel, quel que soit le lieu où il se trouve et la personne qu'il a en face de lui (parents, grands-parents, enseignants…).