avez-vous remarqué tout ce que l'on peut faire penser avec un seul mot ?
avec un adjectif de plus ou en moins, tout un contexte sera différemment interprété.
un mot mal pensé et tous les commentaires qui peuvent en découler.
le pouvoir des blogs et de ceux qui les lisent.
et pourtant moi qui écris tout le temps, je ne peux pas m'arrêter à la valeur du seul mot.
j'aime bien mieux le contexte en général, l'idée de pouvoir développer, enchaîner une autre idée qui découlerait de la première, divaguer au large des cotes du MONDE...je peux chavirer.
ça peut faire fouillis = ça oui.
mais n' écrire que ce que ce qui serait dans la norme me serait bien trop réducteur.
à la lettre, faites-vous toujours ce que l'on vous dit "à la lettre" ?
pas moi. j'y mets mes nuances. après tout c'est moi qui dois vivre ma vie. je ne vais pas m'en priver.
c'est ça qui me donne mes couleurs.
je veux bien tenir compte des autres pensées, mais je ne veux pas penser qu'on me les impose. je veux pouvoir faire des choix.
je ne trouverais pas joli un tableau qui ne porterait aucune de mes couleurs. pour me ressentir bien dans ma vie je me fais mon monde et j'y mets mes valeurs.
des on et des y aussi parce que c'est comme ça aussi dans ma vie.
tous ceux qui conseillent de respecter l'autre ne respectent pas toujours justement la liberté de celui qui est conseillé. c'est fou ça, le conseil prive de liberté.
seulement il y a parfois tant à gagner.
c'est à soi-même qu'il convient de décider ce qui est le mieux. il n'y a pas de meilleur moyen que de laisser chacun faire son choix. c'est bon pour les petits, c'est bon pour les grands et aussi pour ceux qui nous enseignent.
il n'y a pas de modèle à suivre. il y a des agissements qui font souffrir, et d'autres qui font embellir. et puis il y a chaque vie avec tous nos choix. ce n'est pas facile de choisir, il faut tout pouvoir tester.
j'essaie de ne pas rentrer consciemment dans la machine à lavage de cerveau. mais je ne me fais pas d'illusions, je sais que je suis abusée contre mon plein-gré...je ne prends pas d'anabolisants pourtant.
pour véhiculer leur slogan de commerce, certains n'hésitent pas à s'emparer des plus faibles et les aviliser puis ne plus s'en préoccuper.
je voudrais bien entraîner plus de monde avec moi, ceux qui veulent préserver, leur liberté de penser. venez ramer avec moi.
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