citez la chose que vous préférez dans votre métier ? moi c'est de me former.

Moi, sans hésiter c'est de me former toute seule. en m'informant.

j'ai besoin d'espace.

j'adore fouiner dans TOUS les supports, le web bien entendu puisque c'est gratuit, mais aussi les livres empruntés ou achetés, les magazines, les émissions tv.

dès que l'on parle d'un sujet exploitable je me branche.

et c'est inépuisable.

à force de me documenter je change ma façon de voir les choses.

je rencontre des personnalités extrêmement riches, je n'ai pas pensé à remercier tous ceux qui m'ont aidée à m'améliorer.

plus je cherche plus je trouve, et plus j'approfondis.

mais dans la petite enfance les sujets sont sans fin.

c'est si compliqué de réunir des humains.
pour y arriver, il faut se donner de la peine, se ménager mutuellement.

• car nous sommes ici en présence d'un trio infernal,
•  les parents qui ont un héritage éducatif qui leur a été transmis depuis plusieurs générations. ils agissent en fonction de ce qu'eux même ont vécu, et cela varie avec les émotions qui les ont pénétrés suite aux vécus.

ils assemblent une paire de point de vue, d'idées reçues, au moment de la conception de leur enfant, et ils doivent faire de leur mieux pour ne pas reproduire au moins ce qui les a fait souffrir.

• l'enfant qui est malléable et qui fait tout son possible pour plaire à tout le monde, sauf que souvent les adultes lui compliquent bien trop l'existence.
• de son côté l'assistante maternelle qui porte son bagage depuis le passé.
• un peu plus lourd. parce qu'elle a comme les parents tiré des conclusions. parfois les conclusions ne sont même pas esquissées parce que l'on a des pulsions que l'on  nous a inculquées sans nous demander notre avis. parfois il faudrait faire un travail personnel pour essayer de se désengager de réflexes reproduits inconsciemment parce qu'on nous a dit qu'il fallait le faire ainsi. nous avons tous des tas d' exemples de moment bêtes que nous avons été obligés de vivre parce qu'à l'époque il n'était pas question de faire autrement.

mais l'ass mat, en plus des parents, doit accueillir des enfants qui viennent de cultures vraiment dissemblables = aucune famille n'a le même héritage que l'autre.

l'ass mat doit donc composer une recette spéciale avec tous ces ingrédients aussi intéressants les uns que les autres, et rajouter par-dessus sa propre névrose personnelle.

par ici la bonne soupe !