faire à la place des autres c'est fatal pour les autres.

la professionnelle est assise loin des enfants mais surveille leurs exercices pour le sens de l'équilibre et leurs limites.
on rencontre des enfants d'âge scolaire incapables de monter dans leur siège auto ni de mettre leur ceinture par exemple. les parents préfèrent le faire eux-même pour gagner du temps, et c'est fatal pour le développement de leurs enfants. mais en même temps les parents voudraient inciter leurs enfants dans des étapes où il sont loin d'être prêts, comme s'asseoir à 6 mois, marcher à 12 mois, alors que s'ils forcent leur enfant -souvent sous la pression des autres- alors que l'enfant n'est pas à l'initiative, le développement moteur sera INCOMPLET. et s'en suivront des problèmes difficiles à réguler.
il faut avant tout observer le degré de développement de chaque enfant et lui proposer ce qui est à son niveau pour favoriser son autonomie et la confiance en lui.
La pédiatre Emmi Pikler, l'a testé sur sa propre fille et élargi à l'orphelinat à Budapest où elle travaillait. "Personne n'a fait autant de recherches sur le développement d'un enfant comme elle" dit mme Mulder de la femme qui est maintenant son modèle.
Observant
L'essence de Pikler est de bien observer l'enfant, si vous savez où il est. Ne l'incitez pas à de nouvelles expériences si l'enfant lui-même n'en est pas loin, mais sachez aussi être prudent lorsque l'enfant essaie de nouvelles choses. ne vous tenez pas trop près lorsque l'enfant expérimente l'escalade. 
Donnez-vous du recul pour explorer leurs propres limites. 
Ne pensez pas à la place de l'enfant.
"Si l'enfant vient à vous avec par exemple une tasse, vous répondez: - Oh, bon, je bois un café avec toi, 
mais ne continuez pas le jeu à sa place, ne proposez pas le café et le gâteau, ni la météo = c'est à l'enfant de développer ses idées de jeux."
Composants de jeu
des escaliers et des images où les tout-petits et les tout-petits en sécurité peuvent affiner leur technologie d'équilibrage. 
si l'enfant a une difficulté par exemple en chutant, on ne le prend pas forcément immédiatement dans les bras mais on l'entoure d'un geste protecteur sur la globalité de son corps, en essayant de comprendre ce qui lui arrive, où il a mal, tout en continuant de lui parler.
on essaie de reproduire les mêmes routines, pour que l'enfant vienne à participer et à coopérer, en tant qu'individu complet, finalement à vire sa vie.
 pépinière de l'AMF Sindron à Saint Stephanusweg 5.

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